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lundi 15 avril 2013

La lecture en arabe


La lecture en arabe

Apprendre la lecture en arabe est très important, parce que sa structure est utilisée dans toutes les conversations quotidiennes. La seule solution est de maîtriser la grammaire et le vocabulaire pour être en mesure de parler la langue couramment. Mais nous devons d'abord savoir le rôle que la lecture en arabe jouent dans la langue.
La lecture en arabe
المادة 26
1)لكل شخص الحق في التعلم. ويجب أن يكون التعليم في مراحله الأولى والأساسية على الأقل بالمجان، وأن يكون التعليم الأولي إلزاميا وينبغي أن يعمم التعليم الفني والمهني، وأن ييسر القبول للتعليم العالي على قدم المساواة التامة للجميع وعلى أساس الكفاءة.
2)يجب أن تهدف التربية إلى إنماء شخصية الإنسان إنماء كاملا، وإلى تعزيز احترام الإنسان والحريات الأساسية وتنمية التفاهم والتسامح والصداقة بين جميع الشعوب والجماعات العنصرية أو الدينية، وإلى زيادة مجهود الأمم المتحدة لحفظ السلام.
3)للآباء الحق الأول في اختيار نوع تربية أولادهم.
المادة 27
1)لكل فرد الحق في أن يشترك اشتراكا حرا في حياة المجتمع الثقافي وفي الاستمتاع بالفنون والمساهمة في التقدم العلمي والاستفادة من نتائجه.
2)لكل فرد الحق في حماية المصالح الأدبية والمادية المترتبة على إنتاجه العلمي أو الأدبي أو الفني.
Après avoir examiné le tableau ci-dessus sur la lecture en arabe, essayez de créer d'autres exemples utilisant les mêmes mots que vous avez appris de cette liste. Il est toujours utile de savoir comment jouer avec ces mots dans une phrase.

La lecture en français

Voici la traduction du texte ci-dessus, vérifiez que vous avez compris sans l'aide du dictionnaire. Après avoir lu la traduction française. Essayez de revenir au texte ci-dessus et vérifiez si vous pouvez comprendre autres mots de plus.
La lecture en français
Article 26
1) Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.
2) L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
3) Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.
Article 27
1) Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent
2) Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

mercredi 3 avril 2013

Pourquoi apprendre l’arabe ?


Pourquoi apprendre l’arabe ?

L’arabe est parlé par près de 350 millions de personnes dans le monde. C’est la langue nationale des 23 pays de la Ligue arabe. C’est l’une des six langues officielles utilisées aux Nations Unies. Langue de culture, de commerce, d’échanges, de sciences, l’apprentissage de l’arabe présente de véritables atouts.
Du point de vue pédagogique :
• Tout comme l’anglais, l’allemand et l’espagnol, l’arabe fait partie des 10 langues officiellement enseignées dans le système éducatif français. Les programmes existent à tous les niveaux (élémentaire, collège, lycée – séries générales, technologique ou voie professionnelle) et s’appuient sur le Cadre Européen Commun de Référence des Langues vivantes.
• L’arabe peut être choisi (comme LV1, LV2 ou LV3) à tous les examens (DNB, Baccalauréats, CAP-BEP, BTS) et la plupart des concours (grandes écoles littéraires, scientifiques ou économiques, ENS, Sciences Politiques, concours de recrutement des professeurs des écoles, etc.). De même, l’arabe est présent dans 22 établissements universitaires
• L’étude de l’arabe contribue à développer les capacités de concentration, de rigueur et de réflexion des élèves. Elle leur permet de découvrir l’univers particulier d’une langue sémitique et d’un nouvel alphabet et donne accès à d’autres usages, d’autres modes de pensée, d’autres valeurs… Cet apprentissage est accessible sans difficulté particulière à tous les élèves.
Du point de vue culturel :
• L’arabe a été, et demeure, le véhicule des pensées riches et fécondes dans les domaines littéraires, philosophiques et scientifiques : l’héritage des grandes civilisations du Moyen-Orient, de même que la pensée grecque et latine, furent repris et développés en langue arabe.
• L’arabe permet une ouverture culturelle très étendue tant du point de vue géographique (du Golfe arabo-persique à l’Océan atlantique).que du point de vue historique.(de la naissance de l’Islam aux conflits actuels, en passant par les différents empires ayant rayonné à partir de Dams, Bagdad et Cordoue).
• L’apprentissage de la langue arabe peut favoriser la mise en valeur du potentiel culturel de familles issues de l’immigration, c’est également un atout supplémentaire dans le cadre d’un parcours scolaire.
• Les nouvelles technologies ont été pleinement investies par le monde arabe : chaînes satellitaires, internet, etc…
Du point de vue économique :
• Le monde arabe bénéficie d’une position stratégique très importante, trait d’union de trois continents : l’Europe, l’Afrique et l’Asie.
• Une bonne partie du monde arabe fait partie de l’Union Pour la Méditerranée, projet lancé récemment mais qui ne peut que se développer et renforcer les liens et les relations entre les pays du bassin méditerranéen.
• Le monde arabe occupe la position de leader mondial en ce qui concerne les réserves de pétrole et de gaz. Il en est aussi le premier producteur.
• La maîtrise de la langue arabe est un véritable atout dans des secteurs comme le commerce international, la diplomatie et le tourisme.
• Les liens économiques entre la France et le Maghreb sont étroits. Premier partenaire commercial des trois pays du Maghreb , la France est également le premier investisseur en Tunisie et au Maroc. Elle est le deuxième investisseur en Algérie. De plus, de nombreux projets culturels communs sont lancés dans les pays du Golfe (Sorbonne, Louvre, etc.).
La langue enseignée : Arabe littéral ou arabe dialectal ?
La langue arabe se présente sous deux aspects :
• L’arabe littéral commun à tous les pays arabes. C’est la langue principale de l’écrit : elle est aussi présente à l’oral, notamment dans les médias, les discours, et tout ce qui a trait à la vie officielle.
• L’arabe dialectal, utilisé essentiellement à l’oral, peut se rencontrer à l’écrit dans certains cas. Les dialectes diffèrent d’un pays à l’autre, mais se crée petit à petit un arabe moyen du fait du développement des chaînes satellitaires. La langue enseignée dans les classes est l’arabe littéral et l’arabe moyen, avec quelques initiations aux principales particularités dialectales.
Clins d’œil
• La littérature et la philosophie parlent arabe.
Le romancier égyptien Naguib Mahfoud, prix Nobel de littérature ; le philosophe et écrivain libanais Jubran Khalil Jubran ; le poète palestinien Mahmoud Darwish ; les philosophes Avicenne (Ibn Sina) et Acicenne (Ibn al-Rusd).
• La musique parle arabe.
Khaled ; le Raï ; Oum Kalthoum ; Fairouz ; Rachid Taha ; Farid al Atrash
• La science parle arabe.
Le système décimal actuel dérive de la civilisation arabe. Les Arabes désignèrent le 0. Le mot « algorithme » vient du nom du grand mathématicien Al Khwarizmi, qui est le père de l’algèbre. C’est aux scientifiques Arabes que l’on doit la désignation des inconnues par la lettre x.
• Les médias parlent arabe.
France 24, Al-Jazira, RMC Moyen-Orient, BBC arabic, Wikipédia arabe, etc.
• Le français parle arabe.
Près de 3000 mots français viennent de l’arabe : algèbre, abricot, zéro, alcool, calife, magasin, coton, sorbet, gazelle, etc…

mardi 2 avril 2013

Pourquoi l’arabe est-il si difficile à apprendre?


Pourquoi l’arabe est-il si difficile à apprendre?

Pour les Occidentaux, la langue arabe reste un casse-tête. Pourtant, depuis quelques années, elle est devenue incontournable.

«Inch’allah» (si Dieu le veut), «choukran» (merci), «al’hamdoulillah» (louange à Dieu)… Autant d’expressions connues de ceux qui tentent de baragouiner quelques mots d'arabe. De là à parler couramment la langue, le fossé est large.

Une langue parmi les plus difficiles 

«Les langues sont d’habitude amusantes. Mais l’arabe est en train de me tuer», s’était exclamé Robert Lane Greene, journaliste américain àSlate.com. Son don pour les langues étrangères, cette fois, ne lui aura pas servi. Comme pour d’autres avant lui l’apprentissage de l’arabe a été un exercice des plus ardus.
Selon le site Twentywords l’arabe fait réellement partie des langues les plus complexes à apprendre: un alphabet de 28 lettres, une lecture de droite à gauche, peu de voyelles… autant d’obstacles pour qui s’y aventure. Reste qu'aujourd'hui, la langue arabe est devenue incontournable: près de 300 millions de personnes échangent en arabe à travers le monde dans pas moins de vingt-trois pays.
L’apprentissage de la langue n’est pas le même pour tout le monde et ne représente pas le même degré de difficulté: «suivant la langue maternelle de l’élève, l’arabe sera plus ou moins difficile à appréhender», souligne Mohammed Jeridi, professeur d’arabe littéral à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco). Il poursuit:
«Les lettres gutturales seront les premiers obstacles de la langue arabe en particulier pour les Anglais et les Français. Ensuite, les difficultés seront la compréhension des lettres qui n’ont de signification que rattachées à d’autres pour former un nom, comme le hamza, le qâf, le aïn ou le gayn (prononcer raïne). Il sera éventuellement plus facile pour les anglophones de parler l’arabe car l’anglais a déjà un "h" aspiré, précise le spécialiste qui insiste sur le fait que, la prononciation n’est pas déterminante pour savoir si une langue est difficile à apprendre ou pas.»
Pour qu’un anglophone puisse parler correctement l’arabe, 2.200 heures de cours seraient nécessaires sur une période de quatre-vingts semaines en moyenne. Le site Twentywords compare le degré de difficulté de l’arabe avec celui du chinois, du coréen ou du japonais. A titre d’exemple, l’apprentissage de la langue française entre dans la catégorie «facile»: vingt-trois à vingt-quatre semaines d’apprentissage pour 575 à 600 heures de cours.

À l’écrit

Bien que l’alphabet arabe ne comporte que vingt-huit lettres, les modalités d’écriture et de lecture diffèrent des langues occidentales. En arabe, les formes des lettres changent en fonction de leur place dans le mot, suivant qu'elle est autonome, en début du mot, en position médiane ou à la fin.
Comme dans beaucoup d’autres langues, les mots en arabe respectent certaines déclinaisons.
«kitab»: livre; «kaatib»: écrivain ; «maktaba»: bibliothèque.
«lahiboun»: jeu ; «lahib»: joueur ; «malhab»: lieu où on joue.
L’usage veut qu’à l’écrit, les voyelles ne soient pas toujours apparentes. Ce qui ne facilite pas la tâche à la lecture. Un mot comme «maktab» (bureau) s’écrit couramment «Mktb». Cela revient à apprendre une langue avec tous les caractères et ensuite de la réapprendre avec des caractères en moins:
ps fcl sns ls vlls!: pas facile sans les voyelles!
Enfin, du point de vue de la syntaxe, l’arabe use de phrases verbales et de phrases nominales, et l’ordre des constituants est: Verbe-sujet-complément (VSO).


À l’oral

Certaines sonorités sont tellement inhabituelles pour des anglophones qu’il leur faut du temps pour apprendre à les reproduire.
«Je ne conseille pas de mâcher du chewing-gum en classe d’arabe, parce que le nombre de bruits articulés depuis le font de la gorge font que le chewing-gum finirait dans vos poumons […] Si les sons sont durs, les mots le sont encore plus», ironise Robert Lane Greene.
En termes d’élocution, le discours des arabophones  est souvent décrit comme vivant et expressif, et se transmet autant oralement que par des expressions non verbales: intonations de voix, expressions du visage, gestuelle.
A contrario, l’arabe littéraire dans son expression orale est plus linéaire, plat, voire monotone. C’est une langue avant tout fondée sur le discours et dont la pratique stricto sensu ne met pas en valeur d’expression corporelle.
Chadia Afrej, Marocaine et professeure d’anglais à Paris, nous donne en exemple la chaîne al-Jazeera, diffusée en arabe littéraire:
«Les présentateurs n’ont pas d’expression particulière sur le visage lorsqu’ils s’expriment. La ponctuation est tellement peu marquée que les phrases paraissent généralement très longues.»


Quel arabe choisir?

Avant toute chose, il faudra déterminer quel arabe on souhaite apprendre entre l’arabe littéraire (ou littéral) et l’arabe dialectal. C’est la construction temporelle ancienne de l’arabe qui a permis l’émergence de plusieurs dialectes: tous sont issus de la même base.
Pour Mohammed Jeridi, une certaine logique reste à respecter dans l'apprentissage de cette langue:
«Il vaut mieux apprendre d’abord l’arabe littéraire. On peut apprendre assez vite l’arabe dialectal oralement lorsqu’on est intégré dans un groupe. Mais on prendra de mauvaises habitudes, et l’apprentissage de l'arabe littéraire ne sera pas forcément facilité. De plus, dans le vocabulaire entre le littéral et le dialectal, certains mots changent de sens. Par ailleurs, le même mot dans le Nord de la Tunisie peut ne pas avoir le même sens dans le Sud. Mais si on parle l’arabe littéraire, on a plus de chance d’être compris dans toutes les régions.»
L’arabe littéraire demeure la langue écrite «universelle». Les arabophones issus de cultures différentes ne parlent que très rarement l’arabe littéraire entre eux, préférant communiquer par un arabe dit dialectal. Le problème est que ce type d’arabe relève davantage d’une spécificité locale et diffère donc d’un pays à un autre. Concrètement, un arabophone tunisien et un arabophone yéménite ne se comprendront pas si tous les deux s’expriment dans leur arabe dialectal propre.
«Moi, Marocaine, je ne vais pas comprendre un arabe d’Egypte ou de Syrie qui va me parler la langue orale de son pays, et vice versa», confirme Chadia Afrej.
Dans la plupart des pays arabophones, l’arabe littéraire est peu utilisé à l’oral sauf dans le cadre religieux, professionnel ou universitaire. En ce sens, le rôle de l’arabe littéraire pourrait être comparé à celui du latin en Europe occidentale durant l’époque médiévale.
Exception faite de pays où l’arabe littéraire est davantage courant, tels que l’Arabie Saoudite, le Koweït ou les Emirats arabes unis. Les différences d’usage linguistique entre les pays arabophones s’expliquent principalement par des motifs historiques et culturels.
«Il y a des influences régionales, des courants et des couches historiques. Dans les mots, on trouve beaucoup de différences. Il y a de l’italien et du français qui se mélangent à la langue tunisienne. Par exemple, le mot tunisien dialectal «zoufri»(ouvrier en français) a une connotation péjorative en tunisien(voyou). Chaque pays arabophone a ses propres influences»,explique Mohammed Jeridi.
«A l’origine, la langue arabe s’est répandue grâce à la diffusion de la religion. Après, les différentes influences géographiques et culturelles ont contribué à l’émergence d’un arabe dit dialectal», renchérit Chadia Afrej.  


Et dans quel contexte?

Le choix entre l’arabe classique ou un des arabes dialectaux va surtout dépendre des raisons pour lesquelles vous voulez apprendre la langue. S’il s’agit de s’installer dans un pays précis ou de vouloir communiquer avec des gens d’une même culture, l’apprentissage d’un arabe dialectal est plus approprié car il facilite la communication orale et quotidienne. Dans cette perspective, on peut supposer qu’il sera plus aisé pour un Français d’apprendre l’arabe dialectal du Maghreb, étant donné l’influence exercée par la langue de Molière durant l’ère coloniale. La preuve en est que certains mots francophones sont utilisés couramment par des arabophones du Maghreb: pharmacie, tilivision (télévision), tiliphoune (téléphone)…  
Dans l’échelle des différences dialectales, il semble que l’Egypte, par son rayonnement culturel notamment, fait office de référence:
«L’égyptien est certainement le dialecte le plus compris dans le monde arabe. L’Egypte a eu beaucoup d’influence du point de vue médiatique et culturel. Grâce à la diffusion de films et de la radio, des Tunisiens, des Algériens, parlent mieux l’égyptien que leur propre langue. L’égyptien est le dialecte de référence»,indique Mohammed Jeridi.
A l’inverse, le dialecte le plus éloigné de l’égyptien et donc le moins répandu chez les arabophones, est l’irakien.
«L’irakien a beaucoup de lettres qui changent, le qâf devient "che", etc. Tout simplement parce que l’irakien a reçu moins d’influences extérieures», conclut-il.
Paradoxalement, à l’apogée de l’empire islamique, les plus grandes écoles de grammaire arabe se trouvaient en Irak, notamment dans les villes de Basra et de Koufa. La plus ancienne forme de calligraphie arabe, le kufi (ou coufique), celle qui a servi à calligraphier les premiers exemplaires du Coran —le livre sacré de l’islam— est originaire de la ville de Koufa, à 170 kilomètres au sud de Bagdad.  
L’arabe est progressivement devenu une série de «dialectes» considérés comme des langues distinctes mutuellement incompréhensibles. Mais l’apprentissage de l’arabe littéral permet quant à lui l’accès à des textes vieux de plus d’un millénaire et demi.
Rassurez-vous, quiconque s’engage sur le chemin de l’apprentissage de l’arabe sera confronté au dilemme entre dialectal et littéraire. Même Harry Potter en a fait les frais: dans les industries de doublage pour les diffusions de film dans la péninsule arabique, on s’arrache quotidiennement les cheveux pour déterminer quel arabe sied mieux à quel personnage de film. A l’image des spartiates de 300 et d’Al Pacino dans le Parrain, Harry Potter s’exprimera en arabe syrien, considéré comme «idéal» pour la fiction.

Anaïs Toro-Engel et Mehdi Farhat
L'explication remercie Chadia Afrej, professeure d'anglais à Paris, et Mohammed Jeridi, professeur d’arabe littéral à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco).

mercredi 21 juillet 2010

dimanche 18 juillet 2010

Les différents styles d'écriture

L'art de l'écriture arabe a donné naissance à une multitude de styles calligraphiques.

En voici quelques uns parmi les plus utilisés: calligraphie arabe

L'alphabet

L'alphabet arabe comprend 29 lettres et se lit de droite à gauche. Chaque lettre s'écrit différemment selon sa position dans le mot (début, milieu, fin). La notion de majuscule/minuscule n'existe pas.

Pour le découvrir, cliquez ici.

TV arabes

Petite sélection de quelques TV arabes en direct.
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Euronews en arabe. Cliquez ici.

France 24 en arabe. Cliquez ici.